On a beau avoir ete largement prevenus, les hordes d'espagnols qui deferlent sur le chemin pour les 100 derniers kms sont impressionnantes, et même plus, carrement tres penibles. Il en sort de partout. Des familles, des groupes d'amis, des colonies de vacances, des groupes de patronages, etc ... En plus ils n'avancent pas car ils se prennent en photos toutes les 5 minutes devant n'importe quoi. On les a surnommes d'abord les pattes blanches car ils n'ont pas ce magnifique bronzage entre le haut de la chaussette et le bas du bermuda et aussi les ptits sacs car ils ont souvent une coquille aussi grosse que leur sac, le reste etant porte par voiture suiveuse ou voir même (quelle honte !!!) en taxi. Trouver une albergue, même tres tôt, devient un probleme. Demain a Compostelle il va falloir se precipiter !
3 commentaires:
Merci Babeth de nous avoir fait partager ton chemin
salut ma pounette, c'est vrai que j'attends avec impatience de lire tes commentaires le soir, et je suis déçue lorsqu'il n'y en a pas...!!je souffre avec toi et je suis avec toi, mais je te rassure je ne le ferai jamais avec toi !! un sentiment de liberté ??? il y a vraiment deux sortes de gens dans la vie ! N'oublie pas de prier pour nous lorsque tu toucheras les pieds de St. Jacques et gaffe aux microbes !! bisous de ta bretonne
Bravo!c'est vrai que les derniers kilomètres sont pénibles , j'en ai fait l'expérience ...
Bon courage pour le retour .
Monique .
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